L’évaluation de la performance de l’action publique au cœur du Programme d’Action du Gouvernement
Le Ministre du Contrôle d'Etat, de la qualité du service public et de la lutte contre les antivaleurs , Professeur Jean-Rosaire IBARA est né le 18 avril 1956 à Fort-Rousset (actuelle ville d'Owando) dans le département de la Cuvette.
Liée aux processus et résultats, politiques et institutionnels nécessaires pour atteindre les objectifs de développement durable, la bonne gouvernance reste une notion fortement ancrée au cœur de l’action gouvernementale.
Permettez-moi, de vous rappeler ici et maintenant le caractère vital de notre ministère au regard de ces missions de contrôle, d’optimisation de l’ensemble des processus administratifs et la lutte contre les antivaleurs . En effet, la réalisation de ces missions vise la performance de l’action publique, instituée par la loi n°31-2019 du 10 octobre 2019 d’orientation de la performance de l’action publique.
Cela se traduit par les finalités de l’action de notre ministère par le biais des axes ci-dessous :
Axe 1 – Gestion des Politiques, programmes et projets (PPP), avec pour objectif : Optimiser la mise en œuvre des politiques, programmes et projets;
Axe 2 – Gestion des finances publiques, avec pour objectif : Sécuriser les recettes publiques, rationaliser les dépenses publiques et maîtriser les dettes publiques ;
Axe 3 – Gestion des Ressources humaines publiques, avec pour objectif : Optimiser le management des ressources humaines de l’Etat ;
Axe 4 – Offre de service public, avec pour objectif : Améliorer l’expérience usagers. Au moment où nous nous apprêtons à engager ces nobles chantiers, nous avons estimé qu’il était dans l’ordre des choses de partager avec vous ou de faire cette présentation autour des contours de notre approche du contrôle d’Etat, de la qualité du service public et de la lutte contre les antivaleurs .
Cette démarche participe de la nécessité de répondre de manière concrète à l’interpellation de Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat qui, dans son message du 30 décembre 2017 sur l’état de la Nation devant la Parlement réuni en Congrès, estimait à juste titre d’ailleurs que le renforcement de la gouvernance et de la lutte contre la corruption est une condition préalable à la politique de rupture du Gouvernement.
Elle permettra également de remporter la douzième bataille du Programme d’Action du Gouvernement selon laquelle, « Il n’y aura pas d’avenir prospère pour le Congo, sans bonne gouvernance ».
Le Site internet du ministère, que nous mettons en ligne, véritable vitrine de nos activités et surtout des services offerts aux différents usagers, fait office de plaquette de présentation dématérialisée de notre ministère. Il comporte par son aspect dynamique et interactif, les fonctionnalités que l’on retrouve dans les sites modernes : partage vers les réseaux sociaux, galeries photos et vidéos, outil de recherche et de téléchargement, etc.
La création de ce portail marque un tournant et va accélérer ou contribuer sans aucun doute la digitalisation de notre administration, et lui permettra ainsi d’améliorer significativement ses performances.
Dans cette même lancée, notre ambition, est de créer davantage de proximité entre les usagers et nos services. C’est ce qui va permettre à notre portail d’évoluer vers une palette de téléservices et de télé-procédures. Dans un proche avenir, il sera donc possible pour certains de nos usagers, depuis son téléphone portable ou sa tablette, chez lui à la maison ou à partir de n’importe quel endroit d’interagir avec nos services et nos plateformes.
Vous êtes donc chez vous. Accordez-nous un peu de votre temps chaque jour pour visiter notre portail web « www.contrôle-etat.gouv.cg » et nous suivre sur les réseaux sociaux.